Bijoux d’artistes et joaillerie d’exception
Préciosité ultime, fantaisie fantasque… C’est à l’intuition que Karry Berreby invente une silhouette joaillière et libre; fidèle à sa conception de l’élégance, perçue comme un raffinement teinté de séduction et de glamour, de confusion des genres, d’ancien et de moderne, de vrai et de faux, d’essentiel et d’artifice, de pièces uniques et de coups de cœur ultra personnels.
Une aristocratie du style qui guide les choix saisissants de cette créatrice doublée d’une collectionneuse à l’œil averti, élevée dans le sillage d’une grand-mère irrésistible de féminité.
Un héritage, tradition parisienne, qui la conduit du studio Berçot à la création de la Maison Karry’O, célèbre pour sa boutique-écrin de la rue des Saints-Pères, dont elle quitte l’influence pour se consacrer à elle-même, à ce style qui fait sa signature, mariage sophistiqué et inédit de pièces vintage des années 50 aux années 80, de créations à son nom, d’œuvres d’artistes auxquelles elle donne carte blanche.
Visionnaire, elle est l’une des premières à réhabiliter les bijoux sculpture, les formes puissantes, les bagues en volume, les ornements, les montres bijoux incendiaires des années 70 comme l’emblématique Montre Serpent de Bulgari, ou des vintages horlogers signés de grandes Maisons de la place Vendôme comme Piaget et Boucheron.
Très tôt, elle fait la part belle aux pierres dures, aux matériaux originaux, aux apprêts antiques ou ethniques qu’elle confronte, heurte, révèle et réveille. Un travail d’orfèvre, capable de faire valoir la délicatesse d’une feuille d’or nervurée ou d’une manchette martelée. Capable de surprendre à travers son choix de bagues de cocktail, vertiges spectaculaires faits pour accessoiriser la main d’une touche de fatalité et de totale féminité. Pour la beauté du geste et l’allure signée quand, fort de son expertise, Karry Berreby renoue avec les grands noms de la joaillerie à travers la découverte d’œuvres uniques de Van Cleef, Andrew Grima, Cartier, David Webb, Boivin… chinées entre Paris, Londres et New York.
Parce que le bijou doit s’amuser, apporter sa touche coquette et sculpturale, sortir, griffer une allure du jour comme de la nuit, avec désinvolture et passion, les codes de la séduction made in Paris, selon Karry Berreby.
Art and exception – jewellery by Karry Berreby
Precious to the extreme, a fabulous fantasy… intuitively, Karry Berreby sets jewellery free. True to her conception of elegance as refinement tinged with seduction and glamour, she breaks down boundaries between vintage and modern, genuine and faux, essential and incidental, one-off creations and intensely personal impulses. An aristocracy of style that guides the remarkable choices of this discerning designer and collector, who grew up in the footsteps of an irresistibly feminine grandmother.
This heritage, a Parisian tradition, led her from studies at Studio Berçot to Karry’O, famed for its intimate boutique in Saint-Germain-des-Prés, whose influence she left behind to devote herself to her own signature style: a sophisticated and original blend of vintage pieces from the 1950s to the 1980s, own-name creations, and the carte-blanche works she commissions from artists.
Her insightfulness made her one of the first to reinstate sculpted jewellery, powerful forms, voluminous rings, ornaments, stunning 1970s bijou-watches such as Bulgari’s iconic Serpenti, and vintage timepieces by the great names of Place Vendôme, among them Piaget and Boucheron.
She lost no time in placing hard stones and original materials centre-stage; antique and ethnic ornaments were thrust together, revived and revealed. As painstakingly as a goldsmith carves precious metal, she seeks out the delicate beauty of a veined gold leaf or a hammered cuff bracelet, or takes us by surprise with her choice of vertiginous cocktail rings that adorn the hand with a touch of captivating femininity. For the sheer desire to create a unique allure, and drawing on her expertise, Karry Berreby returns to the great names in jewellery with the one-off creations by the likes of Van Cleef, Andrew Grima, Cartier, David Webb or Boivin which she uncovers in Paris, London and New York.
Jewellery must always be about pleasure and amusement; it must bring a sculptural, flirtatious touch, add distinction by day and by night with impertinence and passion; these are the hallmarks of Parisian seduction, by Karry Berreby.