C’est la passion du Moyen-âge qui réunit Charles Ratton et Guy Ladrière.
De leur complicité intellectuelle naitra une amitié indéfectible durant laquelle les deux hommes exerceront et partageront leurs savoirs ; Charles Ratton initiant Guy Ladrière à la dimension esthétique des œuvres tandis que ce dernier insufflera un nouvel élan dans la quête de l’objet.
En 1984, ils créeront rive droite la galerie Charles Ratton – Guy Ladrière, puis, au décès de Charles, la galerie s’installera rive gauche, Quai Voltaire.
Face au Louvre, amateurs, collectionneurs et conservateurs découvrent l’intérêt de Guy Ladrière pour la sculpture, de l’Antiquité au XVIIIe siècle. À cette adresse, marbres, terres cuites, bois polychromes et bronzes côtoient également les dessins et tableaux de Fragonard, Boucher, Tiepolo, Ridolfi, Le Nain et Greuze.
Sa réputation internationale de raffinement et de qualité permet à la galerie Ratton-Ladrière de compter parmi ses clients de nombreux musées tels que le Louvre, Cluny, Versailles, Rouen, Dijon, Besançon, Limoges, Beauvais, Lyon, Montpellier, Nantes, Toulouse et, à l’étranger, le Getty Museum de Los Angeles, la National Gallery de Washington, le Metropolitan Museum de New York, la Galerie Nationale du Canada à Ottawa, les Offices de Florence, la Galleria Estense de Modène, le musée de Copenhague, la Galerie Tretyakov de Moscou ou le Musée d’art occidental de Tokyo, ainsi que de nombreux collectionneurs.
La galerie a exposé à la Biennale des Antiquaires, au Salon du Collectionneur à Paris, aux Hospices de Beaune en Bourgogne, à la BRAFA, aux Grands Antiquaires & Libraires, au Château de la Hulpe à Bruxelles, à la Biennale de Florence, à la Fine Arts Fair New-York, à la Salzburg World Fine Art Fair, à la Sculpture European Fair à Berlin, à la Moscow World Fine Art Fair.
Après sept années dans sa galerie, rue de l’Université, Sandrine Ladrière, sa fille, décide de rejoindre Guy Ladrière en 2001. Entourée et intéressée, depuis l’enfance, par les découvertes de son père, elle développe un goût pour la sculpture européenne du XVIIIe et XIXe siècles.
Charles Ratton and Guy Ladrière were brought together by their love for the Medieval period.
An unwavering friendship developed from intellectual complicity, in the context of which the two men exercised and shared their knowledge; Charles Ratton initiating Guy Ladrière in the aesthetic aspects of works while the latter gave a new momentum to the search for objects.
In 1984, they created the Galerie Charles Ratton – Guy Ladrière on the Right Bank, and then after the death of Charles, the gallery moved to the Left Bank, to the Quai Voltaire.
Across from the Louvre, connoisseurs, collectors and curators discovered Guy Ladrière’s interest in sculpture, from Antiquity to the 18th century. At this address, sculptures in marble, terracotta, polychrome wood and bronze rub shoulders with drawings and paintings by Fragonard, Boucher, Tiepolo, Ridolfi, Le Nain and Greuze.
Guy Ladrière’s international reputation for refinement and quality has enabled the Galerie Ratton-Ladrière to include among its clients many museums such as the Louvre, Musée de Cluny, Chateau de Versailles, and the museums of Rouen, Dijon, Besançon, Limoges, Beauvais, Lyon, Montpellier, Nantes, Toulouse in France. Abroad, the J. Paul Getty Museum of Los Angeles, the National Gallery of Washington, The Metropolitan Museum in New York, the National Gallery of Canada in Ottawa, the Uffizi, Florence, the Galleria Estense of Modena, the museum of Copenhagen, the Tretyakov gallery of Moscow and the Museum of Western Art of Tokyo have acquired works from the gallery, as well as many collectors.
The gallery has exhibited at the Biennale des Antiquaires and at the Salon du Collectionneur in Paris, at the Hospices de Beaune in Burgundy, at BRAFA, Grands Antiquaires & Libraires, and Château de la Hulpe in Brussels, at the Florence Biennale, at the Fine Arts Fair New-York, at the Salzburg World Fine Art Fair, at the Sculpture European Fair in Berlin, and at the Moscow World Fine Art Fair.
After seven years in her own gallery on the rue de l’Université, Sandrine Ladrière, Guy’s daughter, decided to join her father in 2001. Surrounded by her father’s discoveries and fascinated by them since childhood, she has developed a love of European sculpture of the 18th and 19th centuries.