Description
Une volonté de nombreux artistes belges de se retrouver autour d’une nouvelle peinture, plus libre, plus impressionniste, plus symboliste.
Elle influencera toute une future génération de peintre, comme Alfred Bastien.
Bastien apprend à maîtriser la lumière, lors de ses voyages au Maroc et en Algérie. Sa pratique du plein air et son gout « du croquis » se fera aussi dans les tranchées.
De retour de la guerre, il se consacrera à la peinture, notamment de paysage, mais aussi au professorat. Il sera de 1927 à 1945 « professeur de plein air » à L’Académie des Beaux-Arts de Bruxelles.
Chez Bastien, ce n’est pas le dessin qui fait l’œuvre, mais la couleur et la lumière. Seul prime l’émotion donnée au spectateur, par une touche, vive colorée aux contours flous.